jeudi 29 août 2013

Oui, oui : Les Français envahissent le Marché du Sud de la Floride !!!


Les français prennent la tête du classement des acheteurs de propriétés en Floride, et notamment sur Miami.


Le salon National de l’immobilier à Paris a largement contribué à cet engouement, ainsi que les récentes stratégies d’impôts et de taxes adoptées par le gouvernement français.

Retrouvez l’article original en Anglais en cliquant ici.


Pour plus d’information sur les investissements immobiliers en Floride et à Miami, contactez notre équipe sur www.OfCourseMiami.com

vendredi 23 août 2013

Les Bons Plans de l’Immobilier en Floride


Short sale, saisies bancaires, faillites et enchères... quand l’immobilier rime avec opportunités.
On peut faire plein de bonnes affaires en Floride, et dans tous les domaines. Dans l’immobilier, les occasions d’acquérir de la pierre moins chère sont fréquentes et variées. Dès lors, il faudrait être fou pour dépenser plus.

La Short sale : 
Dans ce type de ventes, le propriétaire dispose encore juridiquement de son bien immobilier, et il doit donc fixer un prix de vente, assez bas pour attirer les acheteurs, mais suffisamment haut pour satisfaire l’organisme prêteur. Ainsi, la banque accepte de recevoir en cas de vente, une somme moins importante que le montant de l’hypothèque consentie, ceci afin d’éviter que la situation financière du vendeur n’empire et d’aboutir à une foreclosure, procédure toujours longue et très coûteuse. On peut trouver dans le MLS l’ensemble des biens en short sale. Si le propriétaire a en amont contacté la banque et a obtenu son accord sur le prix, on parle d’ « approved Short Sale », dans le cas contraire « non approved short sale », le propriétaire prend le risque de fixer un prix de vente trop bas, sans vérifier que la banque s’en contentera et effacera le solde de la dette.
La Banque travaille en relation directe avec son Asset Manager, qui en fonction de différents paramètres du marché, se donne le droit d’accepter, de contrer ou de refuser une offre.
Lorsque le vendeur soumet à sa banque plusieurs offres simultanément, celui qui paie comptant sera en général l’heureux gagnant.

Comment faire concrètement ?
Vous devez présenter une offre écrite, accompagnée d’un premier versement bloqué sur un compte séquestre, pour démontrer à la banque, votre intention réelle d’achat.
Si vous préférez payer comptant, vous devrez fournir la preuve que vous avez les fonds nécessaires à cette acquisition.
Dans le cadre d’un financement, vous devrez obtenir un « pre-approval » auprès de votre banque, car les clauses suspensives de crédit ne sont pas utilisées en matière de Short sale et de foreclosure.
Il faut aussi être réactif et efficace vis-à-vis de la paperasserie et des formalités car vous ne serez surement pas le seul à vouloir cette charmante maisonnette avec piscine et trois chambres proche toutes commodités à Coral Gables, et vendue à moitié prix.

La Foreclosure : Rien ne va plus
Ici, le propriétaire… n’est plus propriétaire, car la banque saisit le bien pour le mettre en vente à un prix sensiblement plus bas que le prix du marché. En général, le prix fixé est égal ou inférieur au solde du montant dû sur la propriété. Là encore, il faut aller vite car ce type de biens se vend souvent en quelques jours voire quelques heures et il n’est pas rare que l’achat se fasse au comptant.
Il faut savoir que le prix annoncé d’un bien en foreclosure, très en deçà de sa valeur intrinsèque, n’est que rarement négociable.
Dans bien des cas, comme en matière de short sale, on vous demandera très souvent la preuve de la disponibilité des fonds (attestation bancaire la plus récente possible).
Si le bien vous convient, soyez donc prêt à dégainer votre chéquier vite… très vite…
La bonne nouvelle, c’est que le propriétaire, donc la banque, réglera la commission d’agence, à un taux réduit par rapport à une vente classique.

Attention : Il arrive aussi que ces biens en foreclosure restent à l’abandon pendant plusieurs mois avant de trouver acquéreur ; dès lors il faudra ajouter à la note finale, un investissement important en réparation ou en reconstruction. Méfiez-vous notamment des maisons dont la climatisation a été interrompue depuis longtemps. Une clim, cela permet aussi de déshumidifier et la Floride est très humide.

La Vente aux enchères : Pour le meilleur et pour le pire
C’est la solution de dernier recours pour une banque qui n’a pu se débarrasser d’un bien en short sale ni même en foreclosure. Souvent, les propriétés en question souffrent d’un défaut majeur, supportent de lourdes dettes, ou nécessitent des travaux de réfection très importants. Car acheter un bien immobilier aux enchères, c’est l’acheter tel quel « as is » avec l’ensemble des dettes dont il est grevé.
Il est donc bien important de se renseigner d’une part sur le Bien et sur le titre de propriété mais aussi sur le montant des dettes de son propriétaire, avant d’aller enchérir, En effet même avec des mises à prix dérisoires (parfois 10% de la valeur du bien), l’addition au final peut s’avérer très salée.
En général, les biens mis aux enchères sont mis en vente soit par les associations de copropriété qui sont impayées depuis plusieurs années, soit par les banques, soit par l’administration fiscale pour défaut de paiement des taxes pendant 3 ans. Ce qui revient à dire que l’acheteur devra rembourser les dettes auprès de ces personnes en priorité.



Source : French district

Les Bonnes Manières Américaines

L’étiquette sous toutes les coutures aux Etats-Unis.
Chaleureux, pas tactile, direct, simple, droit, obéissant, bruyant… Quelques adjectifs pour définir la manière de vivre et l’état d’esprit américain et qu’il n’est pas évident de connaître lorsque l’on est nouveau aux Etats-Unis. Voici donc quelques règles de bienséance pour faciliter votre adaptation au pays de l’Oncle Sam.




Bien le bonjour chez vous
Bonjour, mais pas n’importe comment.
La coutume qui veut qu’on s’embrasse avant, pendant et après chaque avec plusieurs bises, cela n'existe pas aux USA.
Entre amis, on se prend dans les bras, avec un tapotage franc dans le dos et un grand sourire. Entre collègues, une bonne poignée de main est de rigueur ; l’Américain a d’ailleurs la poignée de main ferme donc n’hésitez pas à lui rendre son broyage de phalanges, c’est également le signe que vous avez confiance en vous.

Vous êtes qui au juste ?
Sachez que majoritairement les passants vous saluent allégrement dans la rue, votre voisin d’haltère peut vous complimenter sur le galbe de vos muscles, et le caissier de la supérette risque de vous demander ce que vous allez faire le weekend avec ce beau temps.
Attention, ces familiarités sympathiques ne dépassent jamais la limite de la bienséance ; Ce n’est pas parce que le chauffeur de taxi vous appelle « Baby », qu’il devient votre ami. 

Pas touche
Vous voyez votre interlocuteur reculer instinctivement à mesure que vous approchez, et être mal l’aise car vous lui avez tapoté l’épaule en discutant ? Sachez que l’américain n’est pas très tactile. Bien sûr, il va vous donner une accolade chaleureuse pour vous dire bonjour, mais c’est tout.
Evitez donc de susurrer votre conversation à l’oreille de votre interlocuteur, de le tripoter lorsque vous vous exprimez ou d’envahir son espace personnel lorsque vous êtes à ses côtés. 

On peut se tutoyer ?
Nul besoin de se tutoyer, puisque le « you » signifie à la fois « tu » et « vous ». En revanche, interpeller son professeur ou son banquier par leur prénom est plus que monnaie courante.
Vos interlocuteurs portent très souvent des badges avec leur nom et c’est un moyen facile d’engager la conversation avec lui. Loin d’être impolie, cette pratique est au contraire très sympathique.

Avant l’heure, c’est déjà l’heure
La ponctualité est très importante aux Etats-Unis et que ce soit au travail, à l’école ou dans votre vie privée, il convient d’être à l’heure. Oubliez le quart d’heure parisien, n’espérez pas vous faire désirer en vous pointant en retard et ne pensez même pas annuler un rendez-vous à la dernière minute.
Inversement, ceux qui reçoivent ou attendent des hôtes doivent se tenir prêts. Brushing laqué petits canapés au frais, préparez-vous à accueillir vos convives à l’heure convenue, voire même avant.

Vous êtes un héros
Un passant qui trébuche et s’étale dans la rue, une vieille dame qui peine à retenir Brutus en bout de laisse, un petit pilote de tricycle qui perd le contrôle de son engin… La politesse veut, bien entendu, que vous veniez en aide à tous ces gens, et la culture américaine veut que vous stoppiez toutes vos activités pour voler au secours des malheureux.
Ici, on ne feint pas de ne pas avoir remarqué tous ces petits couacs, et on se précipite pour apporter de l’aide à tout ce qui en ont besoin. Et la prochaine fois que vous vous étoufferez avec une arête de tilapia, sachez qu’un bon samaritain sera là pour vous porter secours.

Veux-tu filer d’ici !
Le film va commencer dans 3 minutes et il y a encore 15 personnes devant vous, dont une famille de 6 enfants qui n’arrivent pas à se décider. Vous seriez bien tentés de vous déplacer discrètement afin de gratter quelques places et être ainsi sûr de pouvoir acheter votre pop corn et ne rien rater du film.
Jamais ! Aux Etats-Unis, des petites barrières balisent souvent les entrées, des bandes au sol indiquent où vous arrêter et il n’y a pas de « qui va à la chasse perd sa place » qui tienne. 

SOURCE: frenchdistrict

mercredi 21 août 2013

lundi 12 août 2013

Pourquoi les propriétaires de biens immobiliers aux Etats-Unis sont- ils Zen ?

Les récentes normes mises en place par le gouvernement français viennent alourdir un peu plus le fonctionnement du marché immobilier hexagonal.
Les Etats-Unis offre une vraie stabilité, en effet le marché de l’investissement locatif est plus fluide, et équilibre les avantages donnés aux locataires, ainsi qu’aux propriétaires bailleurs.
A défaut d’opposer deux parties comme en France, les lois américaines qui encadrent la relation entre le propriétaire et le locataire permettent des procédures simplifiées et des résultats rapides.
Une procédure d’éviction, par exemple, dure en moyenne, six semaines et coûte entre 600$ et 1000$. Le locataire reçoit deux mises en demeures qui sont suivies, si nécessaires, par une procédure judiciaire. Le tribunal rend alors un « money judgment », favorable aux propriétaires dans une grande majorité des cas, et sommant le locataire de régler sous 15 jours ses loyers dus. Si cette dernière action ne donne aucun résultat, le propriétaire peut récupérer son appartement avec l’intervention des autorités, le cas échéant.
Aux Etats-Unis les locataires connaissent les règles, et les acceptent.
Ce système plus libéral, rend donc les bailleurs plus « zen », et c’est également plus positif pour les locataires, comme pour le marché…
Clairement, les relations locataires/propriétaires sont plus cordiales au pays de l’oncle Sam !!!

Source : tribune de Victor Pagès, directgestion.com

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vendredi 9 août 2013

La France, numéro 1 parmi les investisseurs européens à Miami

Les investisseurs français se trouvent dans le top 7 des pays étrangers qui investissent dans l’immobilier à Miami.


(Sachant qu’en 2012 les Français  ont été numéro 1 parmi les pays Européens à investir en Floride)

« C’est la seconde fois consécutive que les français se retrouvent en tête de ce classement »

En Juin 2013, la France se retrouve en tête du classement en ce qui concerne les recherches sur internet de propriétés à acheter, ou à louer sur Miami.


Source : « selon le Miami international Market Report »

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