Après les Américains, les Français sont les plus nombreux à consulter les sites des agences immobilières de Miami pour acheter. La ville emblématique de la Floride a la caractéristique d'être relativement bon marché pour son standing.
Miami séduit les ménages francophones. Après les américains, ils sont ceux qui ont le plus consulté en avril le site internet des agents immobiliers de Miami (Miamire.com). La présence des professionnels de l’immobilier floridien au Salon national de l’immobilier français qui s’est tenu à Paris en avril n’y est pas étrangère, d’après le site internet. "La participation de l’association à des conférences internationales, comme le Salon national de l’immobilier, a été un excellent moyen d’attirer de nouveaux acheteurs et investisseurs étrangers vers le marché immobilier de Miami".
Une ville bon marché pour son standing
Mais si les français sont autant attirés par la citée floridienne, c’est aussi car elle est pour l’instant très bon marché pour son standing. Les biens immobiliers qui s’y trouvent ont donc de grandes chances d’être valorisés dans les prochaines années, donnant ainsi la possibilité à leurs propriétaires de réaliser des plus-values en peu de temps. Ce qui n’est plus le cas en France, où les prix des logements atteignent, dans certains endroits, des plafonds.
"Miami reste un réel investissement judicieux car le prix au mètre carré est 2 à 3 fois inférieur à des villes telles que New York ou Paris et généralement inférieur à celui des villes françaises comme Bordeaux, Marseille ou Toulouse, à 3000 euros le mètre carré pour des biens de qualité et à 5 à 6 000 euros pour des biens haut de gamme".
Un effet de rattrapage après la chute des prix en 2007
Il faut en fait remonter à 2007 pour comprendre pourquoi les prix de l’immobilier à Miami sont aussi attractifs. La crise des subprimes a très durement affecté la Floride et les prix y ont subi une chute vertigineuse. Un effet de rattrapage s’exerce depuis. Selon les spécialistes locaux de l’immobilier, il reste encore deux ans avant que les prix ne reviennent à leur niveau d’avant crise. Ce qui veut dire que le temps presse pour les acheteurs potentiels. D’autant que selon Brigitte Respaut Clement, un investissement réalisé aujourd’hui à Miami peut encore prendre 40% en 4 ou 5 ans.
Source: La Tribune
Miami séduit les ménages francophones. Après les américains, ils sont ceux qui ont le plus consulté en avril le site internet des agents immobiliers de Miami (Miamire.com). La présence des professionnels de l’immobilier floridien au Salon national de l’immobilier français qui s’est tenu à Paris en avril n’y est pas étrangère, d’après le site internet. "La participation de l’association à des conférences internationales, comme le Salon national de l’immobilier, a été un excellent moyen d’attirer de nouveaux acheteurs et investisseurs étrangers vers le marché immobilier de Miami".
Une ville bon marché pour son standing
Mais si les français sont autant attirés par la citée floridienne, c’est aussi car elle est pour l’instant très bon marché pour son standing. Les biens immobiliers qui s’y trouvent ont donc de grandes chances d’être valorisés dans les prochaines années, donnant ainsi la possibilité à leurs propriétaires de réaliser des plus-values en peu de temps. Ce qui n’est plus le cas en France, où les prix des logements atteignent, dans certains endroits, des plafonds.
"Miami reste un réel investissement judicieux car le prix au mètre carré est 2 à 3 fois inférieur à des villes telles que New York ou Paris et généralement inférieur à celui des villes françaises comme Bordeaux, Marseille ou Toulouse, à 3000 euros le mètre carré pour des biens de qualité et à 5 à 6 000 euros pour des biens haut de gamme".
Un effet de rattrapage après la chute des prix en 2007
Il faut en fait remonter à 2007 pour comprendre pourquoi les prix de l’immobilier à Miami sont aussi attractifs. La crise des subprimes a très durement affecté la Floride et les prix y ont subi une chute vertigineuse. Un effet de rattrapage s’exerce depuis. Selon les spécialistes locaux de l’immobilier, il reste encore deux ans avant que les prix ne reviennent à leur niveau d’avant crise. Ce qui veut dire que le temps presse pour les acheteurs potentiels. D’autant que selon Brigitte Respaut Clement, un investissement réalisé aujourd’hui à Miami peut encore prendre 40% en 4 ou 5 ans.
Source: La Tribune
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